Je m’appelle Benoît et depuis deux ans déjà, j’exerce le métier de garagiste, à Marseille. Si je vous écris aujourd’hui, c’est pour vous relater ma recherche d’emploi atypique ! Comme beaucoup, j’ai été confronté à un marché de l’emploi difficile, avec une demande plutôt faible dans le domaine de mes études : le graphisme. Et puis, je suis devenu garagiste !
Devenir garagiste : un heureux hasard…
C’est en voulant me rendre à un rendez-vous Pôle Emploi que ma voiture est tombée en panne. Le dépanneur était très sympathique et nous avons pris le temps de discuter. Le temps que ma voiture soit acheminée dans un garage, bien sûr. J’ai raté mon rendez-vous avec mon conseiller Pole Emploi mais le dépanneur m’a conseillé de me rendre sur PacaJob. C’est un site qui liste un large choix d’emploi dans les Bouches du Rhône notamment. Je n’y croyais pas trop mais j’ai finalement postulé dans ce même garage où fut déposée ma voiture. Et là, j’ai littéralement adoré cet univers ! Bien que la mécanique n’ait aucun rapport direct avec ma formation initiale, j’y ai retrouvé des aspects qui me tenaient à cœur : satisfaire le client, trouver des solutions et être rigoureux…
Je n’y croyais pas vraiment au début. Mais je me dis qu’il faut parfois saisir sa chance. Sur PacaJob, le choix de postes était très important. J’ai été surpris par la diversité des offres ! Si je me suis tourné vers le poste de garagiste, c’est tout simplement parce que j’avais sélectionné plusieurs secteurs et catégories sur le site, afin de m’ouvrir à différents domaines. Je dois reconnaître que je ne regrette aucunement cette belle coïncidence !
Pourquoi j’aime mon nouveau métier ?
Depuis deux ans déjà, je m’épanouis dans mon quotidien. Mon nouveau quotidien. Au début, c’était plutôt des tâches simples qui m’étaient confiées, comme le remplacement de pneus, de bougies ou bien encore des vidanges d’huile moteur. Comme j’aime apprendre, mon patron m’a rapidement formé à des tâches plus techniques, comme le remplacement d’une courroie de distribution, le remplacement d’embrayage et les réfections de châssis. J’ai la chance de travailler dans un garage où règne la passion de la voiture. Je travaille régulièrement sur des voitures de prestige. En ce moment, je suis sur la rénovation mécanique d’une superbe Triumph Spitfire de 1966. Une voiture d’exception plutôt rare à Marseille, dont j’ai la fierté d’avoir contribué à sa remise en route.
La mécanique est souvent perçue comme un univers sale et répétitif. Bien sûr, il y a des tâches récurrentes. Mais d’une manière générale, la diversité est suffisante pour s’y épanouir et passer de bons moments.
Et si je devais retrouver un nouveau travail ?
Je pars du principe que rien n’arrive par hasard dans la vie et qu’il faut savoir saisir les opportunités. Le site PacaJob est un bon moyen de trouver rapidement des postes disponibles près de chez soi. À Marseille, nous avons la chance d’avoir un marché de l’emploi dynamique et très bien fourni ! Si j’ai trouvé un travail qui me plait, je suis certain que vous aussi, vous y parviendrez sans difficulté !